En 1946, à l’initiative du Parti Communiste, un train quitte Naples, emportant avec lui des milliers d’enfants vers l’Italie de Nord. Là, ils trouveront des familles d’accueil qui les arracheront quelques mois à la misère. Amerigo, le narrateur, est parmi eux, sa vie en sera bouleversée à jamais.
C’est un roman touchant, déchirant. Les mots, les sentiments sont très justes, très profonds. On passe du rire aux larmes puis aux regrets de quitter ce très beau livre ! il y a longtemps que je n’avais pas été émue à ce point.
Le train des enfants de Viola Ardone est paru chez Albin Michel.
Quette – Lisette